





Eléonore Parc




réf : AV-02
réf : AV-03
réf : AV-05
réf : AV-01
série : Abstraction Vinicole
L'Art de la Dégustation


réf : AV-06


réf : AV-04
réf : AV-07




réf : AV-10
réf : AV-09
"Vibration dans le corps, frisson dans la lumière,
La couleur se déploie comme une chair de verre.
Chaque gorgée devient un voyage sans retour,
Un vertige incarné de matière et d’amour."


réf : AV-11
Analyse de la série "Abstraction Vinicole"
Description
La série Abstraction Vinicole explore les jeux de lumière, de couleur et de matière dans le vin observé à travers le verre. Chaque photographie capte un instant suspendu : bulles effervescentes, reflets mouvants, halos lumineux, éclairs rouges ou verts traversant la matière. L’œil est invité à plonger dans un univers microscopique où le vin se fait paysage, cosmos ou pure abstraction.
Analyse thématique
Le fil conducteur de la série est la perte des repères réalistes. Les verres disparaissent au profit de formes circulaires, d’anneaux, de tourbillons, de nuages colorés. Le vin n’est plus seulement une boisson mais devient matière picturale et vibratoire. On y retrouve des échos de la peinture abstraite – notamment l’expressionnisme lyrique – mais transposés dans le langage photographique.
L’artiste joue avec la lumière naturelle ou artificielle qui traverse le liquide et révèle des structures invisibles à l’œil nu. Chaque image devient une micro-carte du vivant, où le hasard et la maîtrise technique se rencontrent : un geste de dégustation devient une composition plastique.
Conclusion sur le travail de l'artiste
Avec Abstraction Vinicole, Éléonore Parc poursuit son exploration sensible du monde du vin en révélant son potentiel unique et cosmique. Elle transforme un rituel codifié – la dégustation – en expérience esthétique universelle. En abolissant la frontière entre science, art et poésie, elle propose une vision inédite de la matière vivante du vin, qui se métamorphose sous son objectif en œuvres picturales contemporaines.
Ainsi, Éléonore Parc, photographe d’art en Bourgogne, inscrit cette série dans une démarche où la vigne devient un langage universel.
Ces fragments de lumière et de matière deviennent un langage propre, où chaque verre est un monde en soi.